Liouba Wildenstein
Exposition de la sculpture " La Girafe" à la Galerie Sladmore à Londres dans la partie sculpture contemporaine
Participation à l'exposition "Bronzes" à Prieuré Saint-Georges, organisée par Bénédicte Giniaux
Participation à l'exposition "Sculpture : Maîtrise et Inspiration" (2011-2012)
20 ans de l'Atelier d'Art de la Sculpture Académique, sous la direction de Vladimir Tsigal, à la galerie d'art de Zourab Tsereteli
Participation à l’exposition "Sculpture: Maîtrise et Inspiration " (2013)
20 ans de l'Atelier d'Art de la Sculpture Académique sous la direction de Vladimir Tsigal à la Galerie du XXI siècle, Moscou
Participation en 2014 à l'exposition des œuvres des stagiaires de l'Atelier d'Art de Sculpture de l'Académie des Beaux-Arts sous la direction de Vladimir Tsigal : « Retour du maître: professeur et élèves » au musée d'Etat Ostrovski de Moscou
Participation en 2015 à la galerie "La Tour Tsarskaya " à Moscou, à l'exposition "Professeurs et élèves" des oeuvres des ateliers de la sculpture et d'art graphique de l'Académie des Beaux-Arts de la Fédération de Russie
Participation en 2018 à l'exposition "Pause de contemplation" à la galerie "La Tour Tsarskaya " à Moscou, consacrée à 260 ans de l'Académie des Beaux Arts et aux 70 ans des ateliers d'art de l'académie, œuvres des académiciens et artistes-stagiaires des ateliers d'art de l'Académie des Beaux-Arts de Russie.
Participation à l'exposition "Bronzes" à Prieuré Saint-Georges, organisée par Bénédicte Giniaux
Participation à l'exposition "Sculpture : Maîtrise et Inspiration" (2011-2012)
20 ans de l'Atelier d'Art de la Sculpture Académique, sous la direction de Vladimir Tsigal, à la galerie d'art de Zourab Tsereteli
Participation à l’exposition "Sculpture: Maîtrise et Inspiration " (2013)
20 ans de l'Atelier d'Art de la Sculpture Académique sous la direction de Vladimir Tsigal à la Galerie du XXI siècle, Moscou
Participation en 2014 à l'exposition des œuvres des stagiaires de l'Atelier d'Art de Sculpture de l'Académie des Beaux-Arts sous la direction de Vladimir Tsigal : « Retour du maître: professeur et élèves » au musée d'Etat Ostrovski de Moscou
Participation en 2015 à la galerie "La Tour Tsarskaya " à Moscou, à l'exposition "Professeurs et élèves" des oeuvres des ateliers de la sculpture et d'art graphique de l'Académie des Beaux-Arts de la Fédération de Russie
Participation en 2018 à l'exposition "Pause de contemplation" à la galerie "La Tour Tsarskaya " à Moscou, consacrée à 260 ans de l'Académie des Beaux Arts et aux 70 ans des ateliers d'art de l'académie, œuvres des académiciens et artistes-stagiaires des ateliers d'art de l'Académie des Beaux-Arts de Russie.
"Il n'y a point de recette pour embellir la nature. Il ne s'agit que de voir." (Auguste Rodin)
J'ai 45 ans, et je suis d'origine russe. Je suis passionnée d'art et plus particulièrement, de sculpture, à travers laquelle je m'épanouis. J'ai décidé de créer ce site pour partager avec les autres passionnés mon parcours, mes expériences, mes réalisations.
J'ai toujours eu soif d'apprendre. J'ai suivi des études à l'Ecole Supérieure des Relations Internationales de Moscou, puis au Collège Universitaire Français. Ensuite, je me suis dirigée vers un troisième cycle de droit à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne. J'avais à coeur de mettre mes compétences au service d'une cause juste. J'ai alors pris divers engagements humanitaires, principalement au profit de la protection des droits de l'homme et de l'accès à l'éducation. Ce fut notamment le cas lorsque j'étais en poste à la Direction Politique du Conseil de l'Europe. Mais l'art n'a jamais, pour autant, déserté mon esprit... Aujourd'hui je perçois dans la sculpture une très belle manière de représenter le monde. J'aime qu'on ressente une vie, une âme dans mes créations, et aller jusqu'à l'essence des choses. Le travail intellectuel, tout comme l'art, me permettent de comprendre le sens du monde qui nous entoure.
Ma rencontre avec l'art
C'est en fait mon père, un homme talentueux, qui m'a communiqué dès ma plus tendre enfance cet engouement pour les activités artistiques, et m'a donné mes premières leçons de dessin. Comme pour m'apprendre la patience et le goût des belles choses, il m'emmenait avec lui faire de l'aquarelle. Un peu plus tard, j'étais inscrite aux cours d'initiation à la sculpture pour enfants. Un jour, un peintre fut interpellé en voyant certains de mes dessins. C'est alors qu'il me proposa d'entrer dans une école de préparation aux beaux-arts. C'était pour moi le début d'une longue et belle aventure.
C'est en fait mon père, un homme talentueux, qui m'a communiqué dès ma plus tendre enfance cet engouement pour les activités artistiques, et m'a donné mes premières leçons de dessin. Comme pour m'apprendre la patience et le goût des belles choses, il m'emmenait avec lui faire de l'aquarelle. Un peu plus tard, j'étais inscrite aux cours d'initiation à la sculpture pour enfants. Un jour, un peintre fut interpellé en voyant certains de mes dessins. C'est alors qu'il me proposa d'entrer dans une école de préparation aux beaux-arts. C'était pour moi le début d'une longue et belle aventure.
Malheureusement à l'époque, je ne pouvais pas me consacrer à l'art autant que j'aurais souhaité le faire: entre mes cours à l'école de Français de Moscou et mes entraînements de patinage artistique, les journées me paraissaient tellement courtes... Alors je compensais dès que possible: adolescente, j'ai commencé à collectionner les timbres et les pages de magazines sur lesquels étaient reproduits des tableaux de maîtres, et j'en tapissais ma chambre. J'avais aussi la chance de résider à Moscou, dont la vie culturelle est très riche. Alors je dévorais les expositions, je flânais dans les musées, et je consignais mon ressenti dans mon journal dès que je rentrais, comme pour prolonger mes visites. Mes impressions y côtoyaient quelques poèmes que j'écrivais, ou encore le sentiment que je gardais de mes lectures.
Peu de temps après, et grâce à ma maîtrise de la langue française, j'ai gagné mon premier argent de poche en tant que guide touristique bilingue au Musée des Beaux Arts de Pouchkine, où j'ai également pu suivre des cours d'histoire de l'art.
Une très belle parenthèse de vie
Plus tard, au cours de mon expérience de mannequin, j'ai discrètement puisé une profonde inspiration dans les ateliers des grands couturiers et les studios des grands photographes. Voir travailler un grand créateur de mode impose l'humilité et le respect: il marie les couleurs, parfois il en créé; il modèle la structure d'un vêtement, il en sublime les proportions. Le photographe, quant à lui, décide du cadrage des prises de vue, ou du degré d'exposition à la lumière qui révèlera la beauté de la création. M'immerger dans le regard critique de ces talentueux experts aux idées parfois les plus improbables, m'a beaucoup appris d'un point de vue technique.
Peu de temps après, et grâce à ma maîtrise de la langue française, j'ai gagné mon premier argent de poche en tant que guide touristique bilingue au Musée des Beaux Arts de Pouchkine, où j'ai également pu suivre des cours d'histoire de l'art.
Une très belle parenthèse de vie
Plus tard, au cours de mon expérience de mannequin, j'ai discrètement puisé une profonde inspiration dans les ateliers des grands couturiers et les studios des grands photographes. Voir travailler un grand créateur de mode impose l'humilité et le respect: il marie les couleurs, parfois il en créé; il modèle la structure d'un vêtement, il en sublime les proportions. Le photographe, quant à lui, décide du cadrage des prises de vue, ou du degré d'exposition à la lumière qui révèlera la beauté de la création. M'immerger dans le regard critique de ces talentueux experts aux idées parfois les plus improbables, m'a beaucoup appris d'un point de vue technique.
Le cadeau de mariage du photographe Wayne Maser
Une rencontre liée au destin
Lorsque j'ai rencontré Alec, qui deviendrait plus tard mon époux, j'ai immédiatement été séduite par sa sensibilité à l'art. Notre premier dîner fut accaparé par nos conversations sur l'histoire de l'art, et ponctué d'anecdotes sur les artistes russes à Paris au début du XXième siècle. Notre union ne fut guère différente: nous visitions les expositions, les musées, nous assistions aux ventes publiques. Il m'a appris à reconnaître le talent, et m'a permis de faire connaissance de plusieurs grands artistes contemporains, comme par exemple Chuck Close, peintre et photographe américain... J'ai également posé pour des peintres et des sculpteurs, tels que Nicolai Gorski-Chernichev, Tatiana Nazarenko, Alexei Blagovestnov ou Mikhail Solomatine.
Alec m'a présentée à Rosy Lamb, artiste américaine et assistante de Jean Cardot. Elle a accepté de me donner des cours, et m'a ainsi permis d'accéder à son atelier pour y faire du dessin, de la peinture à l'huile, et travailler avec des modèles vivants. Mon mari venait de tomber gravement malade, et j'y trouvais une bulle d'oxygène entre mes longues visites à l'hôpital. Je tentais, le reste du temps, de m'évader en composant des mosaïques, ou en concevant de petits animaux avec de la plastiline.
Lorsque j'ai rencontré Alec, qui deviendrait plus tard mon époux, j'ai immédiatement été séduite par sa sensibilité à l'art. Notre premier dîner fut accaparé par nos conversations sur l'histoire de l'art, et ponctué d'anecdotes sur les artistes russes à Paris au début du XXième siècle. Notre union ne fut guère différente: nous visitions les expositions, les musées, nous assistions aux ventes publiques. Il m'a appris à reconnaître le talent, et m'a permis de faire connaissance de plusieurs grands artistes contemporains, comme par exemple Chuck Close, peintre et photographe américain... J'ai également posé pour des peintres et des sculpteurs, tels que Nicolai Gorski-Chernichev, Tatiana Nazarenko, Alexei Blagovestnov ou Mikhail Solomatine.
Alec m'a présentée à Rosy Lamb, artiste américaine et assistante de Jean Cardot. Elle a accepté de me donner des cours, et m'a ainsi permis d'accéder à son atelier pour y faire du dessin, de la peinture à l'huile, et travailler avec des modèles vivants. Mon mari venait de tomber gravement malade, et j'y trouvais une bulle d'oxygène entre mes longues visites à l'hôpital. Je tentais, le reste du temps, de m'évader en composant des mosaïques, ou en concevant de petits animaux avec de la plastiline.
Et ceux qui m'ont tant apporté...
Un peu plus tard, j'ai réalisé un portrait en sculpture dans l'atelier des Beaux-Arts de Moscou, en compagnie d'un groupe de jeunes artistes qui travaillent sous la direction du grand sculpteur Vladimir Tsigal. J'ai reçu de précieux conseils de cet homme qui, avec beaucoup d'humour, m'appelait « Rodin en jupe ».
C'est au Kenya que j'ai eu un véritable sentiment de « déclic ». J'y ai réalisé ma première sculpture (« La Girafe »); j'y passais de longues journées à observer les animaux en liberté. Lors d'un retour à Paris, j'ai découvert la fonderie Valsuani. J'y ai appris le travail de la cire, de la ciselure, de la patine. Je suis ensuite retournée régulièrement au Kenya, pour accompagner mon mari dans ce pays qu'il aimait tant, et j'y ai notamment travaillé avec Marc Coreth, le sculpteur animalier.
J'ai également rencontré Jean-Louis Sauvat, qui dédie une grande partie de son talent aux chevaux, et qui m'a invitée à assister à ses cours de dessin et de sculpture avec modèles vivants, à l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art. Enfin, j'ai fait la connaissance de Yuri Kuper, qui a supervisé une partie de mon travail. A travers ses leçons de peinture, il m'a enseigné l'attitude de l'artiste face au travail, la persévérance, et la discipline. Je lui en témoigne toute ma reconnaissance.
Un peu plus tard, j'ai réalisé un portrait en sculpture dans l'atelier des Beaux-Arts de Moscou, en compagnie d'un groupe de jeunes artistes qui travaillent sous la direction du grand sculpteur Vladimir Tsigal. J'ai reçu de précieux conseils de cet homme qui, avec beaucoup d'humour, m'appelait « Rodin en jupe ».
C'est au Kenya que j'ai eu un véritable sentiment de « déclic ». J'y ai réalisé ma première sculpture (« La Girafe »); j'y passais de longues journées à observer les animaux en liberté. Lors d'un retour à Paris, j'ai découvert la fonderie Valsuani. J'y ai appris le travail de la cire, de la ciselure, de la patine. Je suis ensuite retournée régulièrement au Kenya, pour accompagner mon mari dans ce pays qu'il aimait tant, et j'y ai notamment travaillé avec Marc Coreth, le sculpteur animalier.
J'ai également rencontré Jean-Louis Sauvat, qui dédie une grande partie de son talent aux chevaux, et qui m'a invitée à assister à ses cours de dessin et de sculpture avec modèles vivants, à l'École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d'Art. Enfin, j'ai fait la connaissance de Yuri Kuper, qui a supervisé une partie de mon travail. A travers ses leçons de peinture, il m'a enseigné l'attitude de l'artiste face au travail, la persévérance, et la discipline. Je lui en témoigne toute ma reconnaissance.
Aujourd'hui
« La Girafe » a été exposée à la galerie Sladmore à Londres, puis à Chantilly. Les premiers encouragements qu'elle a suscité m'ont convaincue qu'on pouvait donner beaucoup de joie aux gens à travers l'art. Désormais, je réalise quelques commandes en sculpture. J'ai achevé le portrait de mon père. Enfin, je consacre mon temps libre à la préparation d'une exposition d'animaux africains en bronze en hommage à mon mari aujourd'hui disparu, pour des galeries de Paris, de Londres, et de Moscou. Récemment, j'ai également été consultante et co-auteure d'un monument en bronze pour une commande privée. Finalement, l'art ne guérit pas du chagrin; mais il est pour moi la plus belle des façons de perpétuer la mémoire de mon époux.
« La Girafe » a été exposée à la galerie Sladmore à Londres, puis à Chantilly. Les premiers encouragements qu'elle a suscité m'ont convaincue qu'on pouvait donner beaucoup de joie aux gens à travers l'art. Désormais, je réalise quelques commandes en sculpture. J'ai achevé le portrait de mon père. Enfin, je consacre mon temps libre à la préparation d'une exposition d'animaux africains en bronze en hommage à mon mari aujourd'hui disparu, pour des galeries de Paris, de Londres, et de Moscou. Récemment, j'ai également été consultante et co-auteure d'un monument en bronze pour une commande privée. Finalement, l'art ne guérit pas du chagrin; mais il est pour moi la plus belle des façons de perpétuer la mémoire de mon époux.
FORMATION
1996-1998 : Cursus de troisième cycle en Droit Des Affaires à l'Université de Paris I Panthéon -Sorbonne
1990 à 1995 : diplôme de Juriste International avec mention d’excellence à l'Ecole Supérieure des Relations Internationales (Université) de Moscou (MGIMO). Spécialisation en droit international.
1993-1994 : Maîtrise de Droit Français au Collège Universitaire Français auprès de l'Université d'Etat de Moscou
1991-1992 : Diplôme de Langues et Civilisation Françaises au Collège Universitaire Français de l'Université d'Etat de Moscou. Spécialisation en sciences politiques.
EXPERIENCES
1994 : En poste à la Direction Politique du Conseil de l'Europe à Strasbourg, Division des programmes de Coopération paneuropéenne
1992: Participation à l’Université Internationale de Formation des Formateurs en Droits de l'Homme et Citoyenneté Démocratique, à l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres de l'Académie de Versailles (Marraine de l’Université en 2001)
AUTRES ACTIVITES
International
1993 : Gagnante du premier concours "Young Women in Public Affairs", organisé en Russie par Zonta International Foundation (fondation internationale pour le développement professionnel des femmes).
Membre fondateur de "Zonta Golden Club" (section pour les jeunes femmes de Zonta International Foundation à Moscou). Chargée de relations internationales.
De 1989 à 1991 : membre de l'Union des Associations d’échanges culturels entre l'URSS et les pays étrangers
1989 : Membre de la Délégation Soviétique en France pour le Bicentenaire de la Révolution Française
Caritatif
Poursuite de l'activité de bienfaisance initiée avec Alec au profit de l'Eglise Orthodoxe Russe de France.
Actions avec Alec en faveur de l’enfance et de l’accès à l’éducation, en Russie et au Kenya.
1996-1998 : Cursus de troisième cycle en Droit Des Affaires à l'Université de Paris I Panthéon -Sorbonne
1990 à 1995 : diplôme de Juriste International avec mention d’excellence à l'Ecole Supérieure des Relations Internationales (Université) de Moscou (MGIMO). Spécialisation en droit international.
1993-1994 : Maîtrise de Droit Français au Collège Universitaire Français auprès de l'Université d'Etat de Moscou
1991-1992 : Diplôme de Langues et Civilisation Françaises au Collège Universitaire Français de l'Université d'Etat de Moscou. Spécialisation en sciences politiques.
EXPERIENCES
1994 : En poste à la Direction Politique du Conseil de l'Europe à Strasbourg, Division des programmes de Coopération paneuropéenne
1992: Participation à l’Université Internationale de Formation des Formateurs en Droits de l'Homme et Citoyenneté Démocratique, à l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres de l'Académie de Versailles (Marraine de l’Université en 2001)
AUTRES ACTIVITES
International
1993 : Gagnante du premier concours "Young Women in Public Affairs", organisé en Russie par Zonta International Foundation (fondation internationale pour le développement professionnel des femmes).
Membre fondateur de "Zonta Golden Club" (section pour les jeunes femmes de Zonta International Foundation à Moscou). Chargée de relations internationales.
De 1989 à 1991 : membre de l'Union des Associations d’échanges culturels entre l'URSS et les pays étrangers
1989 : Membre de la Délégation Soviétique en France pour le Bicentenaire de la Révolution Française
Caritatif
Poursuite de l'activité de bienfaisance initiée avec Alec au profit de l'Eglise Orthodoxe Russe de France.
Actions avec Alec en faveur de l’enfance et de l’accès à l’éducation, en Russie et au Kenya.
MGIMO journal 2020 Liouba Wildenstein
(c) Liouba Wildenstein
Photographe: Fabrice Gousset - collection Liouba Wildenstein
Photographe: Fabrice Gousset - collection Liouba Wildenstein
Sculpture of Liouba Wildenstein,"Impala",2004,photographe Vladimir Sychov
(c) Liouba Wildenstein
Photographe: Fabrice Gousset - collection Liouba Wildenstein
Photographe: Fabrice Gousset - collection Liouba Wildenstein
Dépêche AFP du 18 février 2008
Jour de Galop, 26 février 2008
Bloodstock News, 10 mai 2008
"Liouba Wildenstein contre-attaque", Paris Match, Semaine du 30 mai au 5 juin 2013
Stubbs, le peintre "très-anglais" du cheval, Collection Grande Ecurie de Versailles, Favre, 2002
Préfacé par Alec Wildenstein
Lien vers l'ouvrage
Alec WILDENSTEIN, Odilon Redon. Catalogue raisonné de l’œuvre peint et dessiné.
Texte, recherches, documentation : Agnès Lacau St Guily et Marie-Christine Decroocq.
Paris, Lausanne, Wildenstein Institute, La Bibliothèque des Arts.
Format 28 x 33,5cm.
Vol. I : Portraits et figures, 1992.
342 p., 29 pl. couleurs, 729 fig. noir et blanc.
Vol. II : Mythes et légendes, 1994.
384 p., 71 pl. couleurs, 606 fig. noir et blanc.
Vol. III : Fleurs et paysages, 1996.
419 p., 103 pl. couleurs, 627 fig. noir et blanc.
Vol. IV : Études et grandes décorations. Suppléments, 1998.
433 p., 60 pl. couleurs, 698 fig. noir et blanc.
Lien vers l'ouvrage
Alec WILDENSTEIN, Odilon Redon. Catalogue raisonné de l’œuvre peint et dessiné.
Galerie
(c) Copyright - 2010 - Liouba Wildenstein